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Vous l’avez peut-être vu (ou entendu 😉), j’ai créé un podcast. Soyons clairs, j’ai un énorme travail à faire pour m’améliorer. Mais j’ai décidé de ne pas attendre de faire une prestation parfaite pour me lancer. Je l’explique souvent en coaching et j’ai envie de vous parler de ces sentiments qui nous coincent pour communiquer sur les réseaux sociaux. Donc, si vous en avez marre de vous retrouver à regarder les autres avancer et pas vous, cet article est là pour vous mettre un coup de pied aux fesses ! Je mets tout ça dans le contexte de la communication digitale, mais vous noterez que vous pourrez l’appliquer à d’autres domaines de vie.
Le syndrome de l’imposteur
Dans un de mes précédents articles, j’ai parlé de lui avec un prénom : « Maurice ». Ce n’est pas mon invention, mais celle d’une coach que je suis sur les réseaux sociaux et dont j’aime particulièrement la façon de s’exprimer. Le fait de donner un petit nom à cet empêcheur de tourner en rond permet de le dissocier de moi et de le regarder avec objectivité.
Pour lancer votre activité vous avez déplacé des montagnes, vous avec tout pensé, parfois repris des études. Vous avez des clients et des personnes satisfaites de vos services ou de vos prestations. Vous le savez, vous n’êtes pas un imposteur dans votre travail. Alors pourquoi laissez-vous Maurice vous convaincre que publier sur les réseaux sur ce boulot génial que vous faites au quotidien est un non-sens ? Que personne ne vous lira ? Ou ne vous likera ?
Cela sera sans doute vrai au début, mais parce que ce que vous mettrez en avant ne sera pas intéressant, mais parce que votre audience du commencement sera quasi inexistante. Et c’est là que vous devrez ne rien lâcher ! Sachez que les audiences sur les différents réseaux se construisent petit à petit, sauf exception.
Alors maintenant on répète après moi : « Laisse-moi tranquille Maurice et sors de ma tête ! »
Le perfectionniste
Celui-ci il est coriace, et quand il nous tient on procrastine avec une intelligence rare. Je ne lui ai pas donné de petit nom, jusqu’à présent parce que c’est souvent Maurice qui parle le plus fort chez moi. Mais au moment où j’ai fini par me lancer dans les podcasts, je l’entendais me souffler à l’oreille. « C’est nul, tu bégaies, on sait que tu lis ton script, même pas capable de parler sans buter sur les mots… »
Si je devais lui donner un nom, cela serait le prénom d’une personne agaçante de mon enfance Ghislaine. Désolée pour celles qui portent ce prénom, mais il réveille en moi de vieux démon. Il est adapté à ce sentiment qu’il faut faire bien et parfait sinon cela ne conviendra pas, la foudre s’abattra sur moi et plus personne ne m’adressera la parole.
Alors oui Ghislaine ! Ce que je fais n’est pas parfait ! Il reste de temps en temps des fautes dans mes articles, je n’arrive pas à tenir sur le long court mon calendrier de publication parce que je le modifie tout le temps.
Mais au moins, je le fais et je me lance ! Et toi ? À part parler dans l’ombre, je ne te vois pas agir.
Hum, ça fait du bien. Faites pareil envoyer bouler ce foutu perfectionniste et animez-vous ! Vous vous améliorerez avec le temps.
Le solitaire
« Je n’ai besoin de personne », vous le connaissez ? Celui qui vous bloque pour demander de l’aide alors que cela vous allègerez considérablement la tâche ! Certaines fois pour avancer, il est nécessaire qu’une personne vous donne de l’élan pour prendre le bon chemin. Il est même particulièrement utile qu’on vous encourage tout au long de la course. Avoir un mental de guerrier, et c’est souvent le cas des artisans et petits entrepreneurs, n’empêche pas d’avoir besoin de quelqu’un.
Lui ne fait pas vraiment partie de mes petites voix bloquantes (heureusement, cela commencerait à faire beaucoup 😅), mais je le rencontre régulièrement au gré du temps. Du coup, je n’éprouve pas le besoin de le nommer, je vous laisse le soin de le faire.
Si vous n’arrivez pas à faire quelque chose, trois solutions s’imposent à vous : ne rien faire, apprendre à le faire ou le déléguer. C’est certain pour les deux dernières vous devrez probablement investir en temps et en argent. Perdre des heures avec une tierce personne, qui peut vous aider, peut être stratégique.
Au cours de mes coachings (je vais pouvoir bientôt dire formations 😊), je vous aide à apprendre à vivre avec ces trois lascars, mais surtout à les museler dans un coin de votre tête. Pour dompter le digital, rien ne vaut la mise en action. Demandez à mes proches, je n’y connaissais rien, il y a deux ans. Je détestais les réseaux et je n’aimais pas faire entendre ma voix. Aujourd’hui, j’ai décidé d’accompagner ceux qui ont besoin d’apprendre à développer leur identité digitale durablement, que ce soit à travers les réseaux sociaux ou en créant leur propre site web.
Dites donc au revoir à Maurice, Ghislaine et l’homme sans nom, ils partent en vacances au fond d’une boîte dont vous allez maîtriser le système d’ouverture. 😉
Merci pour cet article qui redonne le sourire face à Ghislaine et Maurice, mes petites voix intérieures régulières 😅
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